SOME WORDS FROM PASCAL FOR THESE TIMES. [To THE EDITOR
OF THE " SPECTATOR."] Sta,—The Ministerial Press calls for new whips in D.O.R.A.'s hands, for the repression of all who dare to speak any more against our Prime Minister. (See the latest Observer.) I am reminded of a passage towards the end of the twelfth letter iu Pascal's Lettres a un Provincial. Perhaps you have the will and the space to print it :— "C'est one ?Strange at longue guerre quo cells oil la violence essaie d'opprimer la verite. Tons les efforts de la violence ne peuvent affaiblir is v6rite, et ne servant qu'h la relever davautage. Toutes les lumieres de la verite ne peuvent rien pour arrl'ter la violence, et ne font que l'irriter encore plus. Quand la force combat la force, la plus puissante detruira la moindre: quand on oppose les discours aux disoours, ceux qui sont veritables et convaincants confondent et dissipent ceux qui n'ont que la vanity et le mensonge: mais la violence at la Write Be peuvent rien rune sur I'autre. Qu'on ne protende pas de lh neamnoins que los chose: soient egales: car it y a cette extreme difference, que la violeucs tea qu'un cours borne par l'ordre de Dieu, qui en conduit les effete it is gloire de la veritA qu'elle attaque : au lieu que is v4rik subsiste eternellement, at triomphe enfin de ses ennemis, parce- qu'elle est kernelle et puissante comme Dieu mime."
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